Ici Sidi Brahim-Prudon de Sidi Bel Abbès سيدي ابراهيم
Nous ne sommes fait au bout de la vie que de souvenirs, alors choisi bien ton présent cela te permettra de te retourner un jour et de sourire de ta vie...
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (34.226.208.185) si quelqu'un porte plainte.
En contemplant bien ces personnes sur cette photo en noir et blanc, on pourrait d'abord, avec peu de fautes, les identifier puis deviner : où, quand et pourquoi se sont pris ensemble en photo souvenir ? Parmi eux, il y a deux qui ne sont plus de ce monde mais savoir qui se sont tous, c'est un jeu d'enfant pour les gens Ouled Sidi Brahim. Personnellement je n'ai pas trouvé de difficultés à les identifier. La vieillesse a marqué ses empreintes sur leur force mais sans affecter leurs traits de visage. De gauche à droite : on reconnaît HANANE CHAREF, MAZOUZ MOUSTAPHA (décédé), ZEBLAH MOKHTAR qui est derrière, BOUTOUIZRA HACENE (décédé), ZEBLAH MADANI. Le dernier, je n'ai pas pu l'identifier mais, il me semble que c'est un Zeblah de Zerouala cousin de Madani et Mokhtar. Cette photo a été prise dans les années 60, probablement entre 1964 et 1966, vu que HANANE CHAREF qui est né en 1945, ne devait pas dépasser à cette époque l'âge de 22 ans. En observant ZEBLAH MADANI qui est cravaté et tiré à quatre épingles à l'opposé des autres, on dirait que c'était bien le jour de son mariage. À cette époque, on n'avait pas de hauts bâtiments au village de Sidi Brahim et vu le grand immeuble, la photo a été prise, sans aucun doute, à Sidi-Bel-Abbès –ville, où un passage du marié, accompagné de ses amis et son vizir, est incontournable le jour de sa noce. C'était en ville qu'il devait y prendre un bain et faire une beauté chez le coiffeur. Et c'était à la place Carnot qu'il devait y installer un banquet pour recevoir ses invités avant de retourner tous au village en cortège. Commenter par Dr Douar 17-01-2019.
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SAHLI KADDOUR Né à Sidi Brahim le 28 avril 1948, élu maire en 1985,date d'un nouveau découpage administratif où Sidi Brahim qui était attaché depuis l'indépendance à la commune de Sidi Hamadouche, fut désigné commune en cette année 1985. M.SAHLI KADDOUR était le premier maire, quitta l'assemblée communale en 1986 après une courte mandature. Décédé le 20 février 2015 après une longue maladie. ALLAH Yarhmah
NADJAR KADDOUR Né à Sidi Brahim le 30 janvier 1956. il remplaça M.SAHLI à la tête de l'assemblée communale pour achever son mandat en 1990.Décédé subitement le 28 juin 2016.ALLAH Yarhmah
AOUNALLAH BRAHIM Né à Sidi Brahim le 10 juin 1938, Ancien chargé de l'administration communale, désigné d'office par la tutelle comme D.E.C (Directeur de l'exécutif communal) durant une année de octobre 1996 à novembre 1997, puis élu maire en décembre 1997 et acheva son mandat de 5 ans en novembre 2002. Décédé une année après ,exactement le 25 décembre 2003.ALLAH Yarhmah
HANNAN CHAREF Né à Sidi Brahim le 21 décembre 1945, fils de Chahid. Il a été élu maire de décembre 2002 à novembre 2007.Il garde à ce jour son siège au sein de l'Assemblée.
LACHLAK ABBES Né à Sidi Brahim le 08 mars 1963. Il a été d'abord Adjoint-maire de 2002 à 2007, ensuite élu maire en 2007,réélu pour un 2eme mandat en 2012 et pour un 3eme mandat en 2017.
Douar Hadj. Je remercie infiniment M Madi Hadj et Mlle Douar Zohra qui m'ont été utiles pour faire cette modeste présentation
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Pour moi, c'est toujours un plaisir d'aller se mettre au vert à la campagne, "Nalqa rahti". C'est réconfortant, oxygénant et déstressant. C'est ici, exactement comme le montre la photo, que je me ressource et que je me déconnecte le temps d'un week-end ou simplement d'une journée, et c'est dans ce lieu que je découvre à chaque fois de jolies choses dont j'ignorais bien souvent l'existence dans mon douar, sur les terres de ma famille...Le printemps passé était la dernière fois que j'avais foulé cette chère terre. Le cadre était verdoyant,la nature parfaite, les paysages se teintaient de toutes les couleurs avec une prédominance du beau vert des champs et le bleu azur du ciel. La prochaine fois, InchAllah, j'irai explorer la forêt qui se trouve juste à quelques centaines de mètres de nos terres et pourquoi pas aller en randonnée pour faire la connaissance de mes voisins maternels des Hnaycha qui se trouvent à quelques encablures, de l'autre côté de la forêt.
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Je me souviens de ce moment là, comme si c'était aujourd'hui : Le studio du photographe, un certain Monsieur « Sportes » de la rue Prudon de Sidi Bel abbés, le tabouret où mon père m'avait installé, les spotlights, l'étrange appareil noir qui me regardait pour mémoriser l'instant à jamais, l'appel du géniteur debout derrière l'opérateur m'ordonnant de le fixer du regard, la preuve en est, l'image en est la preuve. Il faisait nuit, je n'avais que quatre ans, un paquet de bonbons « berlingots » acheté au prisunic dans mes mains, porté par les bras vigoureux et sécuritaires de Papa. Une phase d'un temps. Une nostalgie que j'ai toujours chérie. Papa !, Repose en paix. Tu nous as tant donné et on n'a pu te rendre ne serait-ce qu'un petit quelque chose sauf ma reconnaissance et je prie Allah le miséricordieux de t'accueillir dans son vaste paradis.
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« Attention ! les jeunes, on ne bouge plus. » Le petit photographe de l'avenue de la Marne plongea sous le voile noir de son antique appareil. Il avait bien fait d'ouvrir le dimanche. Ses clients voulaient six photos tout de suite. Dans l'objectif, il les observa se détachant sur le rideau crème qui servait de fond. Un vrai groupe de copains qui se font photographier ensemble à la fin de leur service militaire ou à la sortie d'un banquet. Deux grands échalas, debout, encadraient deux plus petits. Les mains derrière le dos comme à l'école. Devant eux, assis sur des tabourets, deux hommes les mains sur les genoux. Le photographe avait l'habitude des photos de groupe. Il faisait régulièrement les photos des écoles de Bab-el-Oued, les sorties de mariage, les groupes de première communion. Au moment d'appuyer sur la poire, le photographe remarqua que l'homme assis sur le tabouret de droite avait des chaussettes qui tombaient lamentablement sur ses chaussures. C'était aussi le seul qui n'eût pas de cravate sous son costume froissé. D'ailleurs aucun de ses six clients ne payait de mine. Les costumes étaient défraîchis, les cravates modestes, les physionomies timides sauf peut-être celles des deux hommes assis. Le photographe ressortit de sous le voile noir. Attention ! cette fois-ci ça y est. Et il appuya sur la poire. Il venait, sans le savoir, de réaliser la première photo historique de la guerre d'Algérie. La seule photo que l'on connaisse, réunissant les six chefs du F.L.N. L'un des rares documents que l'on possède où figurent Ben Boulaïd et Didouche dont la mort est proche et qui n'aura jamais plus le loisir de se faire photographier. .! Ce dimanche 24 octobre 1954 venait de se tenir l'ultime réunion des Six avant l'insurrection. Ce dimanche 24 octobre tous les détails de la Toussaint rouge étaient mis en place. Chacun des Six était entièrement responsable d'un ensemble de pièces. Le 31 octobre, de minuit à 3 heures du matin, le puzzle devrait être reconstitué. Après, on verrait bien. Car les six chefs historiques, s'ils étaient prêts pour l'insurrection, n'avaient rien prévu pour l'avenir. Les moyens étaient encore trop faibles. Donner un coup de semonce aux Européens et amener le peuple à la cause du F.L.N. par tous les moyens, était déjà un programme fort ambitieux. Avant de se quitter les Six décidèrent de se faire photographier. Pour garder un souvenir de cette heure historique, dit Didouche, toujours lyrique. Gloire à nos martyrs.
Photo prise juste avant le déclenchement de révolution armée le 1er novembre 1954. Debout, de gauche à droite : Rabah Bitat, Mostefa Ben Boulaïd, Didouche Mourad et Mohamed Boudiaf. Assis : Krim Belkacem à gauche, et Larbi Ben M'hidi à droite
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Le 26 mai 1956, dans la Casbah, c'est une rafle monstre. L'opération mobilise 1500 policiers en civil et en uniforme et des éléments de l'armée et de la marine représentant plus de 6000 hommes. A minuit, tout se déclenche. L'encerclement de la ville arabe est achevé et aucun habitant ne peut plus ni entrer ni sortir. Chaque rue, chaque impasse et le plus grand nombre possible de maisons vont être fouillées. Le secret a été parfaitement gardé. Aucune des unités appartenant à la division d'Alger n'a, pour cette raison, participé à l'opération. On les a prélevées dans le reste de l'Algérie, sous des prétextes divers : opérations, revues, et embarquées en camion. A 4 heures, le dispositif de l'armée est en place. Derrière les façades, la Casbah retient son souffle. Des voitures à haut-parleur sillonnent les rues, demandant aux habitants de rester chez eux, de ne pas s'opposer aux forces de l'ordre, d'éviter les incidents. Vérifications et perquisitions commencent, menées par les policiers, les C.R.S. et les gendarmes. Entreprise immense quand on songe que la Casbah abrite plus de 80 000 musulmans. A l'aube, un hélicoptère se met à tourner au-dessus de la ville arabe, surveillant les terrasses et aussi tout rassemblement suspect.
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